Le club demeure deuxième, derrière le PSG cette fois, et effectue un excellent parcours en coupe UEFA, en éliminant notamment le Partizan Belgrade (1-1 à l'extérieur, puis un festival offensif et un score de 4-0 au match retour) et le Spartak Moscou (0-1 à l'extérieur, 1-1 à domicile) avant d'être éliminé avec les honneurs par l'Inter (0-3 à San Siro et 3-3 à domicile, après avoir longtemps tenu un score de 3-1[n 9]). Alors que la reprise de la Socpresse par Serge Dassault fait de l'industriel le nouveau propriétaire du FCNA[88], le président du club Jean-Luc Gripond entérine la vente de sept joueurs titulaires : Mario Yepes, Sylvain Armand, Marama Vahirua, Stéphane Ziani, Mathieu Berson ; ainsi que le départ en fin de contrat de Nicolas Gillet et Viorel Moldovan. Le 1er septembre 1963 voit le FCN jouer sa première rencontre en D1, contre Sedan. L’ancien sélectionneur des Bleus va signer pour six mois avec le FC Nantes. Nantes play in Ligue 1, the first … À Nantes, on ne reste jamais ensemble. Il parvient à arracher le maintien et les Canaris terminent à la quinzième place, la pire de leur histoire depuis la montée en D1. Quand le Football Club de Nantes naît le 21 avril 1943, grâce à la bonne volonté de plusieurs dirigeants de clubs nantais, dont Marcel Saupin et Jean Le Guillou, nul ne présageait qu'une grande et belle histoire du football français allait s'écrire Le nouveau président, officiellement chargé de « rechercher des partenaires capitalistiques[109] », prépare la revente du club dont Dassault ne veut plus. Thierry Bonalair, Jorge Burruchaga enfin rétabli, Marcel Desailly, Jean-Jacques Eydelie, Joël Henry, Johnny Mølby et Jean-Louis Lima quittent le club : c'est le prix à payer pour que le sport retrouve enfin ses droits. From 1992 to 2007, the club was referred to as FC Nantes Atlantique before reverting to its current name at the start of the 2007–08 season. Les candidats ne manquent pas, Ferenc Puskás lui-même est candidat[44], mais les dirigeants nantais se tournent finalement vers un autre nom bien connu, Jean Vincent. À l'été 2000 Nantes perd notamment Antoine Sibierski, parti à Lens pour satisfaire ses exigences salariales[81], mais se renforce avec les arrivées notamment du latéral Nicolas Laspalles, du Sylvain Armand, de Stéphane Ziani, formé au club et prêté par Bordeaux, et enfin de l'attaquant Viorel Moldovan, recruté au Fenerbahçe SK pour le montant de transfert record du club (40 millions de francs)[84]. Juin - sept. 2018 : Miguel Cardoso Top 10 : Les légendes du FC Nantes Téléfoot.fr a tenté de classer les 10 joueurs de légende de l'histoire du Football Club de Nantes. Les candidats au poste d'entraîneur ne manquent pas mais le président Clerfeuille reste dubitatif car tous ces entraîneurs à la compétence incertaine et aux prétentions financières démesurées, l'effraient. Le joueur tchadien en particulier montre un immense talent d'attaquant qui lui vaut bientôt son surnom trouvé par Joël Henry : « le Sorcier ». De son propre aveu, il met du temps à s'intégrer au jeu en mouvement du FCN[49]. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour la première fois de son Histoire, le Football Club de Nantes ... Histoire et Patrimoine Le survêt anglais de 1966. Le rôle d'Albert Heil n'est pas à négliger non plus car en plus de plaider en faveur de l'arrivée d'Arribas, il supervise de nombreux jeunes joueurs souvent recalés par des clubs plus prestigieux et il est à l'origine du recrutement de futures stars : Gilbert Le Chenadec en 1958, Philippe Gondet et Jean-Claude Suaudeau en 1960, Bernard Blanchet en 1962 puis Robert Budzynski en 1963. Le FC Nantes participe à cette compétition pour la cinquante-troisième fois de son histoire. 5 fois finaliste de la Coupe de France : 1966, 1970, 1973, 1983, 1993 Une nouvelle fois confronté au départ de plusieurs cadres (N'Doram, Makelele et Pignol), Jean-Claude Suaudeau décide de passer la main à une semaine du début du championnat. Surtout, Arribas importe un plaisir de jouer inconnu jusqu'ici à Nantes, grâce auquel tous les joueurs adhèrent immédiatement à son discours. La saison 1951-1952 débute bien pour le FCN qui reste longtemps deuxième mais manque son objectif en fin de saison en terminant 4e du championnat. La saison 1962-1963 commence moyennement et il faut que plusieurs cadres de l'équipe (Strappe, Gonzales, Guillot) fassent pression sur la direction et menacent de partir pour éviter le renvoi d'Arribas (alors qu'Antoine Raab, conseiller technique, réclame la fin des expériences du Basque)[28]. Le FCN termine 3e en 1971 et 7e en 1972. Le stade de La Beaujoire suivra 6 ans plus tard. Par ailleurs, ébranlé par le début de saison, le président Guy Scherrer démissionne le 30 octobre 1996[76], remplacé par Jean-René Toumelin. Quelques jours plus tard, Marseille rend visite à Nantes (0-0) et le joueur n'est pas aligné. Le sport français vit décidément des heures difficiles, quelques semaines plus tard en rugby, le FC Grenoble se voit privé du titre de champion de France dans une sombre affaire[62],[63]. Le FC Nantes parvient grâce à cette équipe solide à se hisser à la première place au mois de février et à enlever son troisième titre national devant l'OGC Nice. sept. 2006-fév. La victoire contre le PSG, champion en titre, le 19 août 1994 est un moment fort de l'année : le seul but de la partie est inscrit par Loko à la conclusion d'un mouvement rapide et instinctif, révélateur du travail collectif de l'équipe. Les départs les plus notables sont ceux de Michel Der Zakarian et de Jean-Pierre Bade qui n'a pas convaincu. 1943-46 : Aimé Nuic LE FC NANTES de 1943 à aujourd'hui. Et ça, c'était très spectaculaire, « Nantes continue d’apprendre mais le problème, c’est qu’on ne retient pas toujours la leçon », « On ne peut pas rester ensemble. 1 finale de Coupe de la Ligue : 2004 Le FC Nantes prend le statut professionnel en 1945 lors de la montée dans le championnat national de deuxième division. En coupe UEFA, Nantes passe deux tours et rencontre l'Arsenal FC d'Arsène Wenger. Entre critiques d'anciens du club[105], pression de l'actionnaire[106], critiques sur la gestion[107] et rumeurs persistantes de vente[108], le club reste coincé à la dernière place à partir de la 30e journée de championnat. Cette première saison de Blazevic est plutôt positive : bien accepté par les vedettes Vercauteren et Mo Johnston, il profite de la révélation de l'année, Didier Deschamps auquel il confie le brassard de capitaine à seulement vingt ans. Depuis décembre 2020 : Raymond Domenech. L'entraîneur et ancien formateur du club Raynald Denoueix retrouve des joueurs qu'il a formé tels Mickaël Landreau, Jean-Michel Ferri, Frédéric Da Rocha, Nicolas Savinaud et les néo-professionnels Éric Carrière, Olivier Monterrubio ou Salomon Olembe. Les changements sont immédiats : Blazevic aligne dès le début du championnat ses recrues, Boris Diecket, Joël Henry, Jean-Claude Milani dans les buts et William Ayache revenu de Marseille. Les dirigeants du club ne veulent plus de déceptions, d'éliminations prématurées, de finales ratées. À l'orée de la saison 1972-1973, on ne compte plus que Bernard Blanchet et Gabriel De Michèle parmi ces vétérans. En 1985, le club recrute le solide Yvon Le Roux en défense et l'excellent meneur Argentin Jorge Burruchaga, peut-être le plus talentueux de l'histoire du club[n 7], champion du monde un an plus tard[n 8]. Le titre est remporté avec trois points d'avance sur Sochaux et Saint-Étienne mais la vraie surprise de la saison est européenne : les Nantais s'expriment enfin au niveau continental en Coupe des coupes. Les jaunes ne se laissent pas surprendre bien que tenus en échec à la fin du temps règlementaire (1-1). Le travail de José Arribas aboutit enfin en 1964-1965 lorsque Nantes surprend la France du football en remportant le titre[30]. Si, le temps d’une saison. Un autre feuilleton déstabilise le club, celui du départ de Didier Deschamps. Le premier match officiel, disputé le 26 août 1945, voit les Nantais battre le CA Paris à l'extérieur, 2-0 (buteurs : Crépin, Ruffin) tandis que le premier match de D2 à Malakoff se solde par une défaite 2-0 face à Troyes. NANTES sur les 9 derniers matchs 4 nuls et 5 défaites . Le 14 juillet 1960, Clerfeuille le reçoit et le contrat est signé en dix minutes. >> A lire aussi : FC Nantes: «Je ne fais pas partie, actuellement, de ceux qui peuvent aider le FCN», explique Denoueix Des anecdotes croustillantes. Lors de la saison 2008 - 2009, le FC Nantes est à nouveau relégué en Ligue 2, occupant la 18e place. » Il montre sa volonté de rupture en s'entourant de nouveaux venus comme le directeur technique Christian Larièpe[116]. Les circonstances de la création du club alors que la ville de Nantes est occupée par l'armée allemande, restent entourées de mystère que la municipalité comme le club ne font rien pour dissiper. Mars - Mai 2011 : Philippe Anziani Avec le départ de Nicolas Savinaud en fin de contrat, seul Frédéric Da Rocha incarne encore la tradition, lui qui a commencé sous Jean-Claude Suaudeau. En fait, c'est l'équipe première de la Saint-Pierre de Nantes (le principal club amateur de la ville qui évolue en division d'honneur) qui prend son autonomie sous le nom de Football Club de Nantes[2]. Histoire et Patrimoine Il y a bientôt deux ans maintenant, le FC Nantes célébrait son 75ème anniversaire ! Les résultats s'améliorent alors très vite et Nantes est champion d'automne en décembre 1959, battant dans le même temps des records d'affluence à Malakoff (15 912 spectateurs le 15 octobre pour Nantes-Nancy)[20]. Éric Carrière quitte le club alors que le championnat est déjà commencé, le 28 août. Juillet 2009 - Déc. De Michèle, Gondet et Budzynski participent tous trois à la Coupe du monde de football 1966 mais ne suffisent pas sauver la performance française (élimination au premier tour). L'arrivée d'Émile Veinante à la tête de l'équipe est le signe d'un changement de la politique du club : avec l'ancien international qui vient d'obtenir la montée pour le FC Metz, Nantes vise une promotion rapide en D1. L'équipe n'en est pas moins affaiblie par les vagues de départs depuis des années, toujours mal compensés. D'abord annoncé partant pour l'intersaison 1989, Deschamps reste finalement mais signe précipitamment au mois de novembre : Bouyer et Tapie s'entendent à l'occasion du match France-Chypre (2-0), auquel participe Deschamps, le 18 novembre[54]. 7 fois vice-champion de France : 1967, 1974, 1978, 1979, 1981, 1985, 1986 Football Club de Nantes, fondé le 21 avril 1943. En 1985 le FCN perd Bossis (Matra Racing), Bibard et Poullain (PSG) et les recrutements sont de moins en moins à la hauteur. Mais ils ne restent pas[73]. Cette bibliographie présente quelques ouvrages de référence. À Turin, Carotti est expulsé sur une simulation de Michele Padovano, et Éric Decroix est à l'inverse sorti sur un coup de coude non sanctionné du même Padovano (nez cassé)[70]. Débute alors une période nouvelle pour le club, dans des conditions plus difficiles, sur sa nouvelle pelouse du Stade de la Beaujoire, écrin qui fait la fierté du FCN mais dont les tribunes souvent à moitié vides n'ont pas la même chaleur que celles du vieux Stade Saupin. Les autres joueurs essentiels des deux premiers titres sont Sadek Boukhalfa (ailier gauche parti en 1965 pour rejoindre Bastia), Gabriel De Michèle (arrière gauche surnommé Jaïr par Ramon Muller[32]), Bernard Blanchet (« ailier moderne, capable aussi bien de déborder que de centrer, ou de se faufiler au centre, [...] remarquable dans le jeu aérien[33] », et souvent décisif), Rafael Santos toujours disponible pour pallier les blessures ou encore Jean-Claude Suaudeau (véritable relais d'Arribas au milieu, « parfait relayeur entre la défense et l'attaque[34] »). D'autres soupçons entourent le match et certaines opérations financières ne sont toujours pas élucidées[n 11]. Du côté des structures d'abord, et ce dès les jours qui suivent la débâcle de la finale de coupe 1970. D'autres renforts arrivent en décembre 1958, Raymond Wozniesko en provenance de Bordeaux ou Ernest Bodini, de Monaco, mais en 1958-1959, le club ne termine que 14e. Jean-Claude Suaudeau reprend naturellement les rênes pour terminer la saison, Nantes se classant sixième. Les recrues ne justifient pas leur prix important[n 19] et l'équipe ne s'éloigne jamais de la zone de relégation, terminant à la dix-neuvième place et se montrant particulièrement faible en attaque avec seulement trente-trois buts marqués, seul Le Havre faisant moins bien. En championnat, il est trop tard et Nantes termine à deux points des Alsaciens, mais en coupe de France, les Canaris réalisent enfin ce que l'on attend d'eux. En 1976, les dirigeants nantais ne proposent qu'un prolongement de contrat d'un an à José Arribas, arguant qu'ils souhaitent désormais que les techniciens du club soient en fin de contrat chaque saison[43].